vendredi 9 mars 2012

La derniere Catalogue des Table en zellige marocain 2012

http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-1.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-2.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-3.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-4.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-5.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-6.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-7.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-8.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-9.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-10.jpg

La derniere Catalogue des Table en zellige marocain 2012 ( seiie 2)

http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-11.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-12.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-13.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-14.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-15.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-16.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-17.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-18.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-19.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-20.jpg

La derniere Catalogue des Table en zellige marocain 2012 (serie 3)

http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-21.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-22.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-23.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-24.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-25.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-26.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-27.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-28.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-29.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-30.jpg

La derniere Catalogue des Table en zellige marocain 2012 (serie 4)

http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-31.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-32.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-33.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-34.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-35.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-36.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-37.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-38.jpg
http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-39.jpg http://zellige.ma/css/images/2012-1-1/mini/Table-en-zellige-marocain-zellij-40.jpg

samedi 25 septembre 2010

ZELLIGE MERZAK ANDALOUS

merzak Andalous
Entrepreneur des travaux divers Zellige Traditionnel
Merzak Ahmed
Email : Merzak.Andalous@gmail.com
GSM : (+212)0661352090
FAX : (+212)0535659755
Adresse: 390 Lot. Ennamae Q. I. Bensouda Fes Maroc
Page sur Facebook : http://www.facebook.com/album.php?aid=1711&id=100001594594555&l=37f56ef948

La biographie
Merzak Ahmed est non seulement un connaisseur et admirateur du zellige artisanal, mais aussi un artiste qu'on trouve, partout dans le monde, les traces de ses travaux extraordinaires.En effet, sa bonne réputation est répondu dans beaucoup de pays; le Maroc son pays natale, la France, l'Italie...jusqu'au Canada et les Etats unies de l'Amérique.
Il est insatiable de l'art du Zellige: ses longs voyages pour satisfaire son plaisir et accomplir sa tache d'artiste en faisant parvenir son art à ceux qui l'admirent là où il sont; le prouvent.
L'amour de cet art ne peut céder la place à autre chose dans la vie de cet homme qui est d'une grande sensibilité artistique. Il est né le 12 juin 1955 à l'ancienne médina de Fès où il a vécu son enfance et travailla en 1970 à la coopérative des maalems Zelligeurs de Fès comme apprenti, en 1976 il a émigré en France où il a passé presque un an et demi, après, il a rentré au Maroc et continué son travail à la coopérative.
Voici quelques réalisations qu'il a dirigées:
  • En 1984: réalisation d'une villa en Californie au Etat Unis d'Amérique.
  • En 1985: réalisation du consulat du Maroc à New York.
  • En 1986:réalisation du  palais royal d’Agadir.
  • En 1987: réalisation  de l’hôtel Mamounia à Marrakech.
  • En 1987: travail au sein de la FAO en Italie.
  • En 1988: réalisation du palais royal de Marrakech.
  • En 1989: réalisation du palais royal de Tétouan.
  • En 1990: réalisation du palais royal de Tanger.
  • En 1991: réalisation du palais royal de Nador.
  • En 1991: réalisation de l’aéroport d’Agadir.
  • En 1992: réalisation du chef d’œuvre de la mosquée Hassan II à Casablanca.
  • En 1992: réalisation de l’aéroport Mohammed V à Casablanca.
  • En 1993: a prouvé son talent au parc de bordeaux en France.
  • En 1994: réalisation de l’aéroport d’Errachidia.
  • En 1995: on peut voir son talent au palais royal de Fès à Batha.
  • En 1996: réalisation de l’aéroport Fès Saiss.
  • En 1997: réalisation du siège de l’organisation internationale de l’aviation à Canada.
  • Entre 1998 et 1999 : réalisation du palais royal d’Erfoud
Et à partir de 2000, il est devenu président de la société coopérative des Maâlems Zelligeurs.
Juste après avoir fondu sa propre société nommée « Merzak Andalous » en 2002, il a travaillé au mausolée Moulay Abdallah à Fès et dirige actuellement quelques travaux à l’ancien palais royal d‘Agadir.
Le Zellige de Fès
Le Zellige est la forme d’art la plus typiquement marocaine. Il fait appel à la technique forte bien assimilée de la terre cuite émaillée et s’inscrit dans l’architecture des palais et des monuments.
Le Zellige est un produit plus spécifiquement artisanal de par la modestie de son origine et l’habilité dont il faut faire preuve pour le travailler. Il s’agit en fait de carreaux de terre cuite de 10 x 10 cm recouverts d’émail et ils sont taillés manuellement à l’aide de lourds marteaux (MENQACH) qui contraste avec la délicatesse des pièces obtenue. Ces pièces composent ensuite un motif qui obéit aux règles traditionnelles des tracés régulateurs, discipline répétons-le, de tous les arts islamiques.
Une mosaïque, sûrement pas, mais d’humble petits morceaux de faïence si bien agencés entre eux qu’ils confèrent, par la diversité de leurs coloris et de leurs formes, une opulence épanouie est débordante aux murs qu’ils couvrent, aux frises et aux soubassement qu’ils composent, aux portails qu’ils habillent, aux pavements des mosaïques, des palais, des belles demeures.
Le Zelligeur a besoin de fort peu de choses : de l’argile, des bras et ses jambes, du soleil, une planche, un four, de colorants minéraux, un gros marteau, et beaucoup d’habileté personnelle. Le Zellige est un travail typiquement artisanal, qui ne pourrait être fait à la machine, car les combinaisons de ses modestes petits morceaux de faïence donnent une variété de dessins infinie. En effet, à la base d’un dessin d’ensemble, le Zelligeur dispose, pour l’exécution , d’environ 300 modèles grâce à l’agencement des couleurs et des formes des gabarits. Le travail  du Zellige est nécessairement un travail de groupe, chaque personne étant spécialisé dans le tracé, la coupe, l’assemblage… etc.
Ce qui frappe lorsque l’on voit les artisans marocains au travail sur les chantiers ou dans les nombreux ateliers de la médina, c’est le contraste entre la sophistication de l’œuvre accomplie et le caractère rudimentaire des matériaux et outils utilisés qui sont simples fabriqué à partir de matériaux de récupération.
Cette déconcertante simplicité matérielle va avec des techniques parfaitement adaptées mises au point au long des siècles. Tout est question de savoir-faire .
Un savoir qui passe par un long et précoce apprentissage.
Traditionnellement, le métier se transmet de père en fils, de maître à disciple, dans le secret d’atelier familiaux où la formation débute dès le plus jeune age. La novice commence par exécuter les taches les plus faciles tout en observant l’activité qui s’exerce autour de lui, il passera ensuite progressivement par toutes les étapes du métier, des plus ingrates aux plus valorisantes, avant de devenir un maâllem qui commande à des ouvriers connaît parfaitement leur travail pour l’avoir lui-même longuement pratiqué. Ceux que j’ai rencontrés sont tous des gens épanouis, au regard souvent vif, rayonnant la paix de celui qui, riche de son savoir, à la conscience d’être à sa juste place.
Un inconvénient du mode traditionnel d’apprentissage, dans une société qui vit de profondes transformations, est l’absence de scolarité normale et des possibilités d’ouvertures et d’adaptabilité qui lui sont liées.
Les maâllems n’ont en général pas été à l’école et ne pratiquent qu’une seule langue. Ces limites ne les empêchent pas d’être aujourd’hui encore des membres influents de la société marocaine, formant une corporation dotée d’un pouvoir certain y compris sur le terrain politique.
Le Zellige est utilisé pour protéger les murs jusqu’à hauteur d’homme et son dessin est essentiellement géométrique.
Les Zelligeur marocains n’ont rien à craindre de voir divulguées leur recettes.
Les matériaux, les outils et le mode d’emploi ne suffirent jamais tant la technique de découpe est particulière, elle demande un coup de main que seule l’expérience, assister de l’exemple, peut donner. Les brillantes galaxies géométriques multicolores plaquées sur les murs, sols… des palais, des médersas, des mosquées, ou qui habillent les fontaines de la médina sont issues de la terre.
La matière :
L’argile de Fès,qui entre dans la composition des carreaux de Zelliges, est extraite sous forme de blocs, qui sont immergés dans un bassin qui s’appelle (Zouba), et pendant un jour et une nuit. L’homme petit avec ses bras et ses jambes cette pâte, pour l’amollir, l’unifier, la lisser.
La terre ainsi triturée et débitée en blocs, raffermie au soleil puis aplatie avec une batte et lissée. Puis une planche, elle est divisée, au gabarit, en carré de 10 x 10 cm, ensuite pour sécher ces derniers entièrement au soleil pendant un temps plus ou moins long selon sa bonne volonté. On cuit alors une première fois.
La surface polie du carreau est ensuite plongée rapidement dans un bain d’émail avant la deuxième cuissan qui révelera les différentes couleurs : blanc, noir, bleu, vert, jaune, brun, rouge. A la cuisson, en effet, les émaux qui contiennent tout du plomb et du sable, donnent une teinte différente grâce à l’adjonction d’un oxyde spécifique. Le mélange plamb+ sable+oxyde spécifique se trouve moulu en poussière et dilué dans de l’eau, ce qui donne le bain d’émail, partant la couleur. Le four est chauffé par le bas : on dispose les pièces à cuire selon un certain ordre : en bas, celles qui peuvent être plus directement expoées à la chaleur comme les blanches, en haut, les sensibles comme les vertes. Dans les chantiers importants, une même couleur peut remplir tout un four, c’est pourquoi on ne tient pas toujours compte de la différence de sensibilité des couleurs à la chaleur. A Fès, chaque couleur est séparément telle qu’on cuit par la production de carreaux. Après vingt-quatre heures, on sort les carreaux, on les contrôle et on les classe par couleur.
La découpe :
La découpe du Zellige , avec la composition du panneau, est un des grands moments de l’opération. A l’aide de gabarits, l’artisan, sur le carré, dessine le maximum de pièce à tailler en chevêtrant les tracés les uns dans les autres de manière à perdre le moins possible de cette matière première précieuse puisqu’elle est déjà le résultat d’un long travail.
Sur un petit établi de quarante centimètres de haut, soule sur lequel est disposée une tablette de métal ou de marbre, il pose son carré ainsi préparé et à l’aide d’un lourd marteau à deux tranchants, il taille très vite les formes délimitées auparavant. Grâce à la plaque de métal ou de marbre, le Zellige ne s’écrase pas et les cassures sont nettes. D’une main, il tourne le carreau de faïence pour le présenter de façon convenable au marteau et de l’autre, il abat franchement son instrument d’un mouvement régulier de balancier posant le coude sur le genou pour ajuster parfaitement son coup.
Les petits Zelliges sont finalement limes en biais pour donner sur l’envers une plus grande surface de prise au ciment, puis ils sont régularisés.
Composition :
Les pièces, par un jeu de puzzle, rangées entas par formes et par couleurs, l’artisan les pose, une à une, à l’envers, sur un sol parfaitement lisse qui s’appelle LLOUH qui est tracé par quelques lignes et cercles pour servir de guide à la construction, cette opération est délicate car il ne faut rien oublier et ne passe tromper en sachant que parfois des formes identique sont présentes dans différentes couleurs et bien sûr sont indifférentiables une fois passées à l’envers.
L’artisan imbrique les pièces de Zelliges les uns dans les autres pour composer son panneau. Il travaille sans voir ses couleurs, sans suivre le moindre tracé ou la moindre circonférence dessinée sur le sol. Il est auroupi ou à genoux et, en tout cas, concentré.
Quand ces pièces de Zelliges ont pris forme à l’atelier, elles sont réparties dans des couffins selon leur dessin et leur forme de couleur. A Fès, les couffins pleins de Zelliges transportés à des d’âne parce que les voitures ne pouvant circuler dans la médina. Sur les grandes chantiers, il faut voir le débarquement de centaines de couffins contenant chacun des milliers de petites pièces.
Après la composition et l’assemblage, le panneau réalisé est saupoudré d’un mélange de ciment et de plâtre qui fait office de joint entre les pièces, puis l’artisan coule ensuite du ciment sur le puzzle et laisse sécher. Lorsque le ciment est pris, le panneau terminé qui mesure environ 100 x 60 cm pour être facilement transportable. Mais certains panneau sont plus grands par exemple celle des fontaines.
Nouvelles création :
L’art musulman a su créer un long age propre, riche et expressif reprenant les caractéristiques même de l’espace dans lequel nous vivons et les règles de proportion relèvent toujours de nécessités géométriques, les formes géométriques simples, primitives seront assemblés, sans vide ni recouvrement en un motif capable, par report symétrique, de « paver » une surface idéale infinie.
De tels assemblages donneront le répertoire à disposition des artistes. Celle-ci engendreront à leur tour d’autres formes et c’est ainsi à partir de compositions très simples, que le décor s’est développé et compliqué jusqu’à devenir un art majeur, cet art connaître un développement exceptionnel qui culminera dans les réalisations en Zellige.
Le Maroc héritera des connaissances de la civilisation andalouse et de ses artisans et les conservera jalousement de la technique du Zellige exigeant beaucoup de précision, elle se prête complètement au développement de l’art géométrique et les médersas de Fès sont un bel exemple des compositions extraordinaires dont quelques demeures contonporaines ont hérité.
Obsédé par l’idée d’unité, l’art musulman a dans tous ses genres accentué les rapports, les liens entre les formes.
L’enseignement de la technique de Zelliges continue de se faire dans le cadre des ateliers de famille, le plus souvent de père en fils, chacun préservent les secrets du savoir-faire transmis de génération en génération.
Notre Blog de moi : http://www.Merzak-Andalous.Blogspot.com
                    http://www.zellige.blog.fr/

ZELLIGE MERZAK ANDALOUS (EN)

merzak Andalous

Merzak Ahmed

mail : Merzak.Andalous@gmail.com
GSM : (+212)0661352090
FAX : (+212)0535659755
Adress: 390 Lot. Ennamae Q. I. Bensouda Fes Maroc

Bibliography
Marzak Ahmed is not only a well- knowing and an admirer of the artistic Zellige, but also an artist who is well known in many countries of the world, by his well performed job and good reputation as well for instance, in morocco ( his birth place), France, Italy . . . and even in Canada and the united states of America.
He is in satiable for the art of Zellige and the best proof are his long journeys to satisfy his eagerness and also to fulfill his duty, as an artist, to take his handicraft to pts admirers wherever they are.
Nothing else can replace this man’s love and thirst for this art, taking into consideration his great artistic sensitivity. He was born on 12 June 1955 in the old medina of Fez, where he grew up. In 1970, He worked, as a beginner, with other Zellige masters (Maalems) in cooperation.
In 1976, He traveled to France where he stayed about a year and a half. After that, he came back to his country (Morocco) and continued his job in the cooperation.
Here is some realization he supervised:
- In 1984 realization of a villa in California in the United States of America.
- In 1985 realization of the Moroccan consulate in New York.
- In 1986 realization of the royal palace in Agadir
- In 1987 realization of the Mamounia hotel in Marrakech.
- In 1987 instant work in FAO in Italy.
- In 1988 realization of the royal palace in Marrakech.
- In 1989 realization of the royal palace in Tetouan.
- In 1990 realization of the royal palace in Tangier.
- In 1991 realization of the royal palace in Nador.
- In 1991 realization of the Agadir airport.
- In 1992 realization of the Hassan II mosque in Casablanca.
- In 1993 he made proof of his outstanding ability and talent, realization the park of Bordeaux in France.
- In 1994 realization of Errachidia airport
- In 1995 his great talent of artisan can be noticed in the royal palace in Fez – Batha-
- In 1996 realization of Fez saiss airport.
- In 1997 realization of the headquarters of the international aviation organization in Canada.
- Between 1998 and 1999 realization of the royal palace in Erfoud.
And since 2000, he has become the president of the cooperation of Maalem Zelligers Company.
Right after, he founded his own company called “Marzak Andalous” in 2002, he worked at Moulay Abdellah Mausoleum in Fez and now he is performing some work at the old royal palace in Agadir.

The Zellige of Fez.
Zellige is kind of art which is typically Moroccan. It relies on the first place, on burnt soil that is colored. It is of paramount importance in the architecture of palaces and monuments
Zellige is in the first place an artistic product of a modest origine and arranged by the great ability of the maalem. In fact, it has to do with little squares of 10 x 10 cm made of burnt soil and covered with dye (colorings). These squares are manually sized using heavy hammers( MENQACH).
Which are totally in contrast with the soft object obtained. As a second step, these pieces compose a motif which is in total harmony with the traditional traced regulations of the Islamic arts.
A mosaic…? Surely not, but outstanding little ornaments well placed together taking into consideration the diversity of their size and color.
It is an extremely beautiful and incredible piece of art on the wall that it covers or the gate that decorates. In addition to the palaces and houses it haunts.
In fact, all that the maalem of Zellige needs is:  gypsum, hands and feet, sun, a piece of wood, Oven (traditional), mineral colorings, a big hammer and o lot of personal knowledge and ability to perform the task.
Zellige is typically artisan’s work which is impossible to fulfill wing machines because the combination of its simple ornaments provides a variety of endless (infinite) of drawings and shapes.
On the basis of a whole drawing, the maalem of Zellige, so as to perform the task, deals with about 300 models, thanks to the arrangement of the colors and shapes of the whole motif.
This task of Zellige is necessarily done is group works in which every member is specialized in tracing, splitting (cutting) and of course gathering …. Etc.
The striking paint in every moment we watch a Moroccan artisan at work, be it in big project or in their daily workshops inside the medina, is the contrast between the artistic arrangement Fulfilled and the kind of the raw material used. It is totally simple and recycled, in addition to the tools that are traditionally made of already used objects. This perfect material simplicity is in complete harmony with the perfect techniques brought to the zenith through long centuries of practice. Everything relies on the knowledge of the matter which is gained through tough and long lasting learning processes.
This job, including the secret of learning and acquiring in workshops which takes place at the early stages of a child’s life, is traditionally transmitted from father to son, master to pupils. First, the beginner starts performing the simplest tasks relying on his observation of the activity that is taking place around him. Second, He witnesses gradually and progressively all the steps of the job beginning from the valueless to the most valuable. After that, he becomes a real maalem, a commander of great experience who is in charge of a number of workers.
He knows perfectly their work which is out of his own personal experience. Those, who I met are all glad people, fond of their deeds and at ease in their job because they are all well experienced people.
The only disadvantage that confronts this traditional mode of learning this job is the lack of scholastic access for these workers and the adaptation possibilities to their work, taking into consideration the great transformations (changes) that our society undergoes.
Therefore, the maalems have never been to school and can only speak one language.
However, these limits don’t hinder them to be effective and influential figures of the Moroccan society and own a local political power as well.
Zellige is used, in the first place, to protect the wall to a man’s height and its drawings are essentially geometrical.
The Moroccan Maalems of Zellige are not afraid to show their recipes to the public for the simple reason that material (raw material), tools, and the way to prepare them are of no value while you lack these splitting techniques which are particular.
They need a great deal of practice with a lot of examples and experience.
The brilliant geometrical galaxies of different colors placed in the wall, floors…etc
Palaces, medersas, mosques or muse that dress the fountains of the medina all come from the soil.
The raw material
The gypsum of Fez which is part of the Zellige squates composition is extracted as blocks and immersed in a big basin which is called (ZOUBA) for a day and night. Men bake this paste with their arms and feet so as to unify it, raw it and of course make it less hard and stiff. The soil reduced to paste and split into pieces and blocks, stiffened again under the sun beams and then made flat with a bat and after with a piece of wood. It is devided into parts of 10 x 10 cm. in the following stage, these parts are exposed to sun beams to completely dry in a relatively long time according to its need. So this is the first time that it is burnt.
The brightening surface of the squares is dived quickly into a colouring before the second burning phase, these colorings that contain sand and lead, give a different paint, thanks to a specific substance (Oxyde) which is added.
The mixture of lead + sand + specific substance (Oxyde) is shaped in dust and dived in water which helps dying and coloring. The oven is warmed up from the bottom. We put the pieces to be burnt according to a definite order:
At the bottom, those that are to be exposed directly to the heat such as the white ones, where as, at the top, the other sensitive ones like the green ones. In big and important projects, the same color may occupy the whole oven, that’s the reason why we don’t pay much attention to the impact of the heat on the colors.
In Fez, every color is burnt a lone just like the one used in the production of squares. After twenty-four hours, we take the squares out of the oven, we control them and classify them according to their colors

The split
The split of Zellige, and the composition of  a construted part, is one of the paramount moments of the whole operation. The artisan draws the maximum of the pieces using drawn and cut moulds op paper. These pieces are drawn one after the other and interrelated so that the artisan gains benefit from the maximum of this previous raw material, bearing in mind that it is out of tough work.
On a small shape of forty centimeters height, on which a small table-like shape of metal or marble is put, the sizes in quick motions the forms already shaped. Thanks to the piece of metal or marble. Zellige don’t break the split are very fine. On the one hand, the maalem moves the square to fit the strikes of the hammer. On the other hand, he strikes in constant and regular movements with his hammer, putting his elbow on his knee to perfectly adjust his strikes.
The small Zellige pieces are finally lime stones that are used in sides to give a wide surface to the cement. After that, these pieces are rearranged again.

The composition
All the pieces, just like in puzzle games, are rearranged according to their shape and colour.
The artisan puts them, one after the other, in opposite directions, on a perfectly smooth floor which is called (LLOUH). This latter is traced with lines and circles that serve as a guide, in the whole construction. This operation is very delicate for the simple reason that you must not forget or mistake any piece, bearing in mind that sometimes some shapes and forms are identical but presented in different colors and of course can be noticed once passed the other way around.
The artisan groups the pieces of Zellige one inside the other to compose each part of the whole task. He works without paying attention to his colors, without following any line or any drawings on the floor, just kneeling down and concentrating on the task.
When these pieces are in shape in the workshop, they are devided again in big baskets according to their colors and drawings. In Fez, these big baskets of Zellige are displaced on donkeys because cars can not move inside the Medina. Sometimes,in big projects, thousands of little pieces of Zellige are transported.
After the composition and the assembling of different parts, it is covered with a mixture of cement and a paste that joins the pieces. As a second step, the artisan pours cement on the puzzle and let dry, when the cement is dry, the whole part is finished and its size is 100 x 60 cm so as to be easy to transport, but some parts are very big, as an example, those of the fountains.

New creation
The Muslim art has created a long age, wealthy (rich) and expressive, taking into consideration the characteristics of the proportion that burst as usual from the geometrical necessity, the simple geometrical forms and the primitive will be assembled with emptiness not recuperation in one motif able, by symmetrical report, to pave an ideal infinite surface.
This assembly seres as a repertoire in the artist’s service and this contributes to the news creation of other motif generated from very simple compositions and moved to be more complicated. This art witnessed exceptional changes which contributed to the welfare of Zellige.
Morocco inherited some knowledge of the andalousian civilization and its artisans and saved jealously the techniques of Zellige that require a lot of precise work. It is owed to the development of the geometrical art. And the medersas of Fez are the great examples of the extra-ordinary compositions that some houses, of the some period, inherited as well.
Haunted by the idea of unity, the Muslim art, in each of its kinds emphasized the relation ships and the lines among the shapes and the forms.
The learning process of the Zellige techniques goes on and takes place in family workshops, most of the time moved from fathers to son. Everyone saves his own secrets of knowledge that are transmitted from generation to generation.

Tables et Fontaines en Zellige

Tables :









Fontaines :



Fontaines de zellige Merzak Andalous





;